Volume 4/Book 2/Chapter 2

From Les Misérables Annotation Project
< Volume 4/Book 2
Revision as of 18:02, 3 March 2014 by Human-ithink (talk | contribs) (Created page with "Les Misérables, Volume 4: The Idyll of the Rue Plumet & The Epic of the Rue Saint-Denis, Book Second: Eponine, Chapter 2: Embryonic Formation of Crimes in the Incubatio...")
(diff) ← Older revision | Latest revision (diff) | Newer revision → (diff)
Jump to: navigation, search

Les Misérables, Volume 4: The Idyll of the Rue Plumet & The Epic of the Rue Saint-Denis, Book Second: Eponine, Chapter 2: Embryonic Formation of Crimes in the Incubation of Prisons
(Tome 4: L'idylle rue Plumet et l'épopée rue Saint-Denis, Livre deuxime: Éponine, Chapitre 2: Formation embryonnaire des crimes dans l'incubation des prisons)

General notes on this chapter

French text

Le triomphe de Javert dans la masure Gorbeau avait semblé complet, mais ne l'avait pas été.

D'abord, et c'était là son principal souci, Javert n'avait point fait prisonnier le prisonnier. L'assassiné qui s'évade est plus suspect que l'assassin; et il est probable que ce personnage, si précieuse capture pour les bandits, n'était pas de moins bonne prise pour l'autorité.

Ensuite, Montparnasse avait échappé à Javert.

Il fallait attendre une autre occasion pour remettre la main sur ce «muscadin du diable». Montparnasse en effet, ayant rencontré Éponine qui faisait le guet sous les arbres du boulevard l'avait emmenée, aimant mieux être Némorin avec la fille que Schinderhannes avec le père. Bien lui en avait pris. Il était libre. Quant à Éponine, Javert l'avait fait «repincer». Consolation médiocre. Éponine avait rejoint Azelma aux Madelonnettes.

Enfin, dans le trajet de la masure Gorbeau à la Force, un des principaux arrêtés, Claquesous, s'était perdu. On ne savait comment cela s'était fait, les agents et les sergents «n'y comprenaient rien», il s'était changé en vapeur, il avait glissé entre les poucettes, il avait coulé entre les fentes de la voiture, le fiacre était fêlé, et avait fui; on ne savait que dire, sinon qu'en arrivant à la prison, plus de Claquesous. Il y avait là de la féerie, ou de la police. Claquesous avait-il fondu dans les ténèbres comme un flocon de neige dans l'eau? Y avait-il eu connivence inavouée des agents? Cet homme appartenait-il à la double énigme du désordre et de l'ordre? Était-il concentrique à l'infraction et à la répression? Ce sphinx avait-il les pattes de devant dans le crime et les pattes de derrière dans l'autorité? Javert n'acceptait point ces combinaisons-là, et se fût hérissé devant de tels compromis; mais son escouade comprenait d'autres inspecteurs que lui, plus initiés peut-être que lui-même, quoique ses subordonnés, aux secrets de la préfecture, et Claquesous était un tel scélérat qu'il pouvait être un fort bon agent. Être en de si intimes rapports d'escamotage avec la nuit, cela est excellent pour le brigandage et admirable pour la police. Il y a de ces coquins à deux tranchants. Quoi qu'il en fût, Claquesous égaré ne se retrouva pas. Javert en parut plus irrité qu'étonné.

Quant à Marius, «ce dadais d'avocat qui avait eu probablement peur», et dont Javert avait oublié le nom, Javert y tenait peu. D'ailleurs, un avocat, cela se retrouve toujours. Mais était-ce un avocat seulement?

L'information avait commencé.

Le juge d'instruction avait trouvé utile de ne point mettre un des hommes de la bande Patron-Minette au secret, espérant quelque bavardage. Cet homme était Brujon, le chevelu de la rue du Petit-Banquier. On l'avait lâché dans la cour Charlemagne, et l'œil des surveillants était ouvert sur lui.

Ce nom, Brujon, est un des souvenirs de la Force. Dans la hideuse cour dite du Bâtiment-Neuf, que l'administration appelait cour Saint-Bernard et que les voleurs appelaient fosse-aux-lions, sur cette muraille couverte de squames et de lèpres qui montait à gauche à la hauteur des toits, près d'une vieille porte de fer rouillée qui menait à l'ancienne chapelle de l'hôtel ducal de la Force devenue un dortoir de brigands, on voyait encore il y a douze ans une espèce de bastille grossièrement sculptée au clou dans la pierre, et au-dessous cette signature:

BRUJON, 1811.

Le Brujon de 1811 était le père du Brujon de 1832.

Ce dernier, qu'on n'a pu qu'entrevoir dans le guet-apens Gorbeau, était un jeune gaillard fort rusé et fort adroit, ayant l'air ahuri et plaintif. C'est sur cet air ahuri que le juge d'instruction l'avait lâché, le croyant plus utile dans la cour Charlemagne que dans la cellule du secret.

Les voleurs ne s'interrompent pas parce qu'ils sont entre les mains de la justice. On ne se gêne point pour si peu. Être en prison pour un crime n'empêche pas de commencer un autre crime. Ce sont des artistes qui ont un tableau au Salon et qui n'en travaillent pas moins à une nouvelle œuvre dans leur atelier.

Brujon semblait stupéfié par la prison. On le voyait quelquefois des heures entières dans la cour Charlemagne, debout près de la lucarne du cantinier, et contemplant comme un idiot cette sordide pancarte des prix de la cantine qui commençait par: ail, 62 centimes, et finissait par: cigare, cinq centimes. Ou bien il passait son temps à trembler, claquant des dents, disant qu'il avait la fièvre, et s'informant si l'un des vingt-huit lits de la salle des fiévreux était vacant.

Tout à coup, vers la deuxième quinzaine de février 1832, on sut que Brujon, cet endormi, avait fait faire, par des commissionnaires de la maison, pas sous son nom, mais sous le nom de trois de ses camarades, trois commissions différentes, lesquelles lui avaient coûté en tout cinquante sous, dépense exorbitante qui attira l'attention du brigadier de la prison.

On s'informa, et en consultant le tarif des commissions affiché dans le parloir des détenus, on arriva à savoir que les cinquante sous se décomposaient ainsi: trois commissions; une au Panthéon, dix sous; une au Val-de-Grâce, quinze sous; et une à la barrière de Grenelle, vingt-cinq sous. Celle-ci était la plus chère de tout le tarif. Or, au Panthéon, au Val-de-Grâce, à la barrière de Grenelle, se trouvaient précisément les domiciles de trois rôdeurs de barrières fort redoutés, Kruideniers, dit Bizarro, Glorieux, forçat libéré, et Barre-Carrosse, sur lesquels cet incident ramena le regard de la police. On croyait deviner que ces hommes étaient affiliés à Patron-Minette, dont on avait coffré deux chefs, Babet et Gueulemer. On supposa que dans les envois de Brujon, remis, non à des adresses de maisons, mais à des gens qui attendaient dans la rue, il devait y avoir des avis pour quelque méfait comploté. On avait d'autres indices encore; on mit la main sur les trois rôdeurs, et l'on crut avoir éventé la machination quelconque de Brujon.

Une semaine environ après ces mesures prises, une nuit, un surveillant de ronde, qui inspectait le dortoir d'en bas du Bâtiment-Neuf, au moment de mettre son marron dans la boîte à marrons,—c'est le moyen qu'on employait pour s'assurer que les surveillants faisaient exactement leur service; toutes les heures un marron devait tomber dans toutes les boîtes clouées aux portes des dortoirs;—un surveillant donc vit par le judas du dortoir Brujon sur son séant qui écrivait quelque chose dans son lit à la clarté de l'applique. Le gardien entra, on mit Brujon pour un mois au cachot, mais on ne put saisir ce qu'il avait écrit. La police n'en sut pas davantage.

Ce qui est certain, c'est que le lendemain «un postillon» fut lancé de la cour Charlemagne dans la fosse-aux-lions par-dessus le bâtiment à cinq étages qui séparait les deux cours.

Les détenus appellent postillon une boulette de pain artistement pétrie qu'on envoie en Irlande, c'est-à-dire par-dessus les toits d'une prison, d'une cour à l'autre. Étymologie: par-dessus l'Angleterre; d'une terre à l'autre; en Irlande. Cette boulette tombe dans la cour. Celui qui la ramasse l'ouvre et y trouve un billet adressé à quelque prisonnier de la cour. Si c'est un détenu qui fait la trouvaille, il remet le billet à sa destination; si c'est un gardien, ou l'un de ces prisonniers secrètement vendus qu'on appelle moutons dans les prisons et renards dans les bagnes, le billet est porté au greffe et livré à la police.

Cette fois, le postillon parvint à son adresse, quoique celui auquel le message était destiné fût en ce moment au séparé. Ce destinataire n'était rien moins que Babet, l'une des quatre têtes de Patron-Minette.

Le postillon contenait un papier roulé sur lequel il n'y avait que ces deux lignes:

—Babet. Il y a une affaire rue Plumet. Une grille sur un jardin.

C'était la chose que Brujon avait écrite dans la nuit.

En dépit des fouilleurs et des fouilleuses, Babet trouva moyen de faire passer le billet de la Force à la Salpêtrière à une «bonne amie» qu'il avait là, et qui y était enfermée. Cette fille à son tour transmit le billet à une autre qu'elle connaissait, une appelée Magnon, fort regardée par la police, mais pas encore arrêtée. Cette Magnon, dont le lecteur a déjà vu le nom, avait avec les Thénardier des relations qui seront précisées plus tard et pouvait, en allant voir Éponine, servir de pont entre la Salpêtrière et les Madelonnettes.

Il arriva justement qu'en ce moment-là même, les preuves manquant dans l'instruction dirigée contre Thénardier à l'endroit de ses filles, Éponine et Azelma furent relâchées.

Quand Éponine sortit, Magnon, qui la guettait à la porte des Madelonnettes, lui remit le billet de Brujon à Babet en la chargeant d'éclairer l'affaire.

Éponine alla rue Plumet, reconnut la grille et le jardin, observa la maison, épia, guetta, et, quelques jours après, porta à Magnon, qui demeurait rue Clocheperce, un biscuit que Magnon transmit à la maîtresse de Babet à la Salpêtrière. Un biscuit, dans le ténébreux symbolisme des prisons, signifie: rien à faire.

Si bien qu'en moins d'une semaine de là, Babet et Brujon se croisant dans le chemin de ronde de la Force, comme l'un allait «à l'instruction» et que l'autre en revenait:—Eh bien, demanda Brujon, la rue P?—Biscuit, répondit Babet.

Ainsi avorta ce foetus de crime enfanté par Brujon à la Force.

Cet avortement pourtant eut des suites, parfaitement étrangères au programme de Brujon. On les verra.

Souvent en croyant nouer un fil, on en lie un autre.

English text

Javert's triumph in the Gorbeau hovel seemed complete, but had not been so.

In the first place, and this constituted the principal anxiety, Javert had not taken the prisoner prisoner. The assassinated man who flees is more suspicious than the assassin, and it is probable that this personage, who had been so precious a capture for the ruffians, would be no less fine a prize for the authorities.

And then, Montparnasse had escaped Javert.

Another opportunity of laying hands on that "devil's dandy" must be waited for. Montparnasse had, in fact, encountered Eponine as she stood on the watch under the trees of the boulevard, and had led her off, preferring to play Nemorin with the daughter rather than Schinderhannes with the father. It was well that he did so. He was free. As for Eponine, Javert had caused her to be seized; a mediocre consolation. Eponine had joined Azelma at Les Madelonettes.

And finally, on the way from the Gorbeau house to La Force, one of the principal prisoners, Claquesous, had been lost. It was not known how this had been effected, the police agents and the sergeants "could not understand it at all." He had converted himself into vapor, he had slipped through the handcuffs, he had trickled through the crevices of the carriage, the fiacre was cracked, and he had fled; all that they were able to say was, that on arriving at the prison, there was no Claquesous. Either the fairies or the police had had a hand in it. Had Claquesous melted into the shadows like a snow-flake in water? Had there been unavowed connivance of the police agents? Did this man belong to the double enigma of order and disorder? Was he concentric with infraction and repression? Had this sphinx his fore paws in crime and his hind paws in authority? Javert did not accept such comminations, and would have bristled up against such compromises; but his squad included other inspectors besides himself, who were more initiated than he, perhaps, although they were his subordinates in the secrets of the Prefecture, and Claquesous had been such a villain that he might make a very good agent. It is an excellent thing for ruffianism and an admirable thing for the police to be on such intimate juggling terms with the night. These double-edged rascals do exist. However that may be, Claquesous had gone astray and was not found again. Javert appeared to be more irritated than amazed at this.

As for Marius, "that booby of a lawyer," who had probably become frightened, and whose name Javert had forgotten, Javert attached very little importance to him. Moreover, a lawyer can be hunted up at any time. But was he a lawyer after all?

The investigation had begun.

The magistrate had thought it advisable not to put one of these men of the band of Patron Minette in close confinement, in the hope that he would chatter. This man was Brujon, the long-haired man of the Rue du Petit-Banquier. He had been let loose in the Charlemagne courtyard, and the eyes of the watchers were fixed on him.

This name of Brujon is one of the souvenirs of La Force. In that hideous courtyard, called the court of the Batiment-Neuf (New Building), which the administration called the court Saint-Bernard, and which the robbers called the Fosseaux-Lions (The Lion's Ditch), on that wall covered with scales and leprosy, which rose on the left to a level with the roofs, near an old door of rusty iron which led to the ancient chapel of the ducal residence of La Force, then turned in a dormitory for ruffians, there could still be seen, twelve years ago, a sort of fortress roughly carved in the stone with a nail, and beneath it this signature:—

                      BRUJON, 1811.

The Brujon of 1811 was the father of the Brujon of 1832.

The latter, of whom the reader caught but a glimpse at the Gorbeau house, was a very cunning and very adroit young spark, with a bewildered and plaintive air. It was in consequence of this plaintive air that the magistrate had released him, thinking him more useful in the Charlemagne yard than in close confinement.

Robbers do not interrupt their profession because they are in the hands of justice. They do not let themselves be put out by such a trifle as that. To be in prison for one crime is no reason for not beginning on another crime. They are artists, who have one picture in the salon, and who toil, none the less, on a new work in their studios.

Brujon seemed to be stupefied by prison. He could sometimes be seen standing by the hour together in front of the sutler's window in the Charlemagne yard, staring like an idiot at the sordid list of prices which began with: garlic, 62 centimes, and ended with: cigar, 5 centimes. Or he passed his time in trembling, chattering his teeth, saying that he had a fever, and inquiring whether one of the eight and twenty beds in the fever ward was vacant.

All at once, towards the end of February, 1832, it was discovered that Brujon, that somnolent fellow, had had three different commissions executed by the errand-men of the establishment, not under his own name, but in the name of three of his comrades; and they had cost him in all fifty sous, an exorbitant outlay which attracted the attention of the prison corporal.

Inquiries were instituted, and on consulting the tariff of commissions posted in the convict's parlor, it was learned that the fifty sous could be analyzed as follows: three commissions; one to the Pantheon, ten sous; one to Val-de-Grace, fifteen sous; and one to the Barriere de Grenelle, twenty-five sous. This last was the dearest of the whole tariff. Now, at the Pantheon, at the Val-de-Grace, and at the Barriere de Grenelle were situated the domiciles of the three very redoubtable prowlers of the barriers, Kruideniers, alias Bizarre, Glorieux, an ex-convict, and Barre-Carosse, upon whom the attention of the police was directed by this incident. It was thought that these men were members of Patron Minette; two of those leaders, Babet and Gueulemer, had been captured. It was supposed that the messages, which had been addressed, not to houses, but to people who were waiting for them in the street, must have contained information with regard to some crime that had been plotted. They were in possession of other indications; they laid hand on the three prowlers, and supposed that they had circumvented some one or other of Brujon's machinations.

About a week after these measures had been taken, one night, as the superintendent of the watch, who had been inspecting the lower dormitory in the Batiment-Neuf, was about to drop his chestnut in the box—this was the means adopted to make sure that the watchmen performed their duties punctually; every hour a chestnut must be dropped into all the boxes nailed to the doors of the dormitories—a watchman looked through the peep-hole of the dormitory and beheld Brujon sitting on his bed and writing something by the light of the hall-lamp. The guardian entered, Brujon was put in a solitary cell for a month, but they were not able to seize what he had written. The police learned nothing further about it.

What is certain is, that on the following morning, a "postilion" was flung from the Charlemagne yard into the Lions' Ditch, over the five-story building which separated the two court-yards.

What prisoners call a "postilion" is a pallet of bread artistically moulded, which is sent into Ireland, that is to say, over the roofs of a prison, from one courtyard to another. Etymology: over England; from one land to another; into Ireland. This little pellet falls in the yard. The man who picks it up opens it and finds in it a note addressed to some prisoner in that yard. If it is a prisoner who finds the treasure, he forwards the note to its destination; if it is a keeper, or one of the prisoners secretly sold who are called sheep in prisons and foxes in the galleys, the note is taken to the office and handed over to the police.

On this occasion, the postilion reached its address, although the person to whom it was addressed was, at that moment, in solitary confinement. This person was no other than Babet, one of the four heads of Patron Minette.

The postilion contained a roll of paper on which only these two lines were written:—

"Babet. There is an affair in the Rue Plumet. A gate on a garden."

This is what Brujon had written the night before.

In spite of male and female searchers, Babet managed to pass the note on from La Force to the Salpetriere, to a "good friend" whom he had and who was shut up there. This woman in turn transmitted the note to another woman of her acquaintance, a certain Magnon, who was strongly suspected by the police, though not yet arrested. This Magnon, whose name the reader has already seen, had relations with the Thenardier, which will be described in detail later on, and she could, by going to see Eponine, serve as a bridge between the Salpetriere and Les Madelonettes.

It happened, that at precisely that moment, as proofs were wanting in the investigation directed against Thenardier in the matter of his daughters, Eponine and Azelma were released. When Eponine came out, Magnon, who was watching the gate of the Madelonettes, handed her Brujon's note to Babet, charging her to look into the matter.

Eponine went to the Rue Plumet, recognized the gate and the garden, observed the house, spied, lurked, and, a few days later, brought to Magnon, who delivers in the Rue Clocheperce, a biscuit, which Magnon transmitted to Babet's mistress in the Salpetriere. A biscuit, in the shady symbolism of prisons, signifies: Nothing to be done.

So that in less than a week from that time, as Brujon and Babet met in the circle of La Force, the one on his way to the examination, the other on his way from it:—

"Well?" asked Brujon, "the Rue P.?"

"Biscuit," replied Babet. Thus did the foetus of crime engendered by Brujon in La Force miscarry.

This miscarriage had its consequences, however, which were perfectly distinct from Brujon's programme. The reader will see what they were.

Often when we think we are knotting one thread, we are tying quite another.


Translation notes

Textual notes

Citations